Géraldine Dalban-Moreynas a débuté sa carrière comme journaliste dans différentes rédactions avant de prendre la tête de la communication du Ministère de la cohésion sociale et de la Parité en 2006. Deux ans après, elle fonde son agence de communication et de relations presse qu'elle fermera en 2018 pour se lancer dans une nouvelle aventure : la décoration.
On ne meurt pas d'amour est son premier roman. Il est publié aux Éditions Plon et disponible aujourd'hui dans toutes les bonnes librairies. Et comme si sortir un premier roman lors d'une rentrée littéraire ne suffisait pas, l'auteure qui est également entrepreneuse ouvre en même temps sa nouvelle boutique à Paris. Une actualité particulièrement chargée !
Elle vient d'emménager avec son homme. Dans un grand loft qu'ils ont retapé. Elle doit se marier au mois de juin. La date est bloquée sur le calendrier de l'entrée. Il va emménager avec sa femme et sa petite fille au deuxième étage du bâtiment B. Les travaux sont presque terminés. Ils se croisent pour la première fois un dimanche de novembre, sous le porche de l'entrée. Elle le voit entrer, il est à contre-jour. Elle sent son corps se vider. Il la regarde. Il a du mal à parler. Plus tard, ils se diront que c'est à ce moment-là que tout a commencé. Ils se diront qu'il était vain de lutter. Il y a des histoires contre lesquelles on ne lutte pas.
S'il est vrai que l'On ne meurt pas d'amour, impensable de mourir sans avoir vécu un amour d'une telle puissance. Un amour fou, un amour dévorant.
Un regard. Il aura suffi d'un regard pour que tout commence. Bien sûr, la raison l'emportera. Ils résisteront. Puis très vite n'y tenant plus, ils basculeront. Ne dit-on pas que le cœur a ses raisons que la raison ignore. Dès lors, une relation virtuelle basée sur des échanges de SMS, de courriels, de mots doux, de déclarations sensuelles s'installera. Mais du virtuel au charnel il n'y a qu'un pas que ces deux-là franchiront. Viennent alors les mensonges, les rendez-vous secrets, les instants volés. Une passion dévorante consumera peu à peu les amants qui devront gérer cet adultère qui se joue sous les fenêtres de leur conjoint respectif. Les amants peuvent-ils avoir un avenir commun ? Aura t-elle la force de quitter celui à qui elle devait s'unir ? Aura t-il la force d'abandonner sa femme et sa petite fille ?
Un regard. Il aura suffi d'un regard pour que tout commence. Bien sûr, la raison l'emportera. Ils résisteront. Puis très vite n'y tenant plus, ils basculeront. Ne dit-on pas que le cœur a ses raisons que la raison ignore. Dès lors, une relation virtuelle basée sur des échanges de SMS, de courriels, de mots doux, de déclarations sensuelles s'installera. Mais du virtuel au charnel il n'y a qu'un pas que ces deux-là franchiront. Viennent alors les mensonges, les rendez-vous secrets, les instants volés. Une passion dévorante consumera peu à peu les amants qui devront gérer cet adultère qui se joue sous les fenêtres de leur conjoint respectif. Les amants peuvent-ils avoir un avenir commun ? Aura t-elle la force de quitter celui à qui elle devait s'unir ? Aura t-il la force d'abandonner sa femme et sa petite fille ?
On ne meurt pas d'amour est une histoire très contemporaine, presque banale, mais ô combien exceptionnelle au vu de l'intensité de ce que vivent ces amants. On aime avec eux, on souffre avec eux. On vit par procuration cette magnifique histoire d'amour impossible.
On ne meurt pas d'amour est un premier roman réussi d'une force inouïe. Il nous happe. L'écriture de Géraldine Dalban-Moreynas est vive, dépouillée, essentielle. L'auteure parvient à nous fait ressentir dans notre chair ce désir, ce besoin vital de l'autre, puis cette culpabilité qui ronge les sangs, cette lâcheté qui finira par habiter les amants.
On ne meurt pas d'amour se lit d'une traite. En apnée. Pour la petite anecdote, j'ai lu que l'auteure avait écrit ce roman il y a une dizaine d'années, qu'elle l'avait égaré puis au détour d'une conversation a révélé à une éditrice son existence. Fort heureusement, Géraldine Dalban-Moreynas a pu retrouver ce texte. Elle l'a retravaillé et voici qu'il compte parmi les livres de la rentrée littéraire. Quelle histoire, mais quelle histoire ! Un livre choc dont on va entendre parler.
On ne meurt pas d'amour se lit d'une traite. En apnée. Pour la petite anecdote, j'ai lu que l'auteure avait écrit ce roman il y a une dizaine d'années, qu'elle l'avait égaré puis au détour d'une conversation a révélé à une éditrice son existence. Fort heureusement, Géraldine Dalban-Moreynas a pu retrouver ce texte. Elle l'a retravaillé et voici qu'il compte parmi les livres de la rentrée littéraire. Quelle histoire, mais quelle histoire ! Un livre choc dont on va entendre parler.
Un conseil, foncez chez votre libraire préféré et laissez-vous happer par cette sublime histoire d'A. Quant à moi, je remercie vivement Babelio et sa masse critique.
Belle lecture !
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