Il y a des adaptations cinématographiques qui donnent envie de lire ou relire les classiques. Tel est le cas du film d'Eric Barbier, La promesse de l'aube, l'adaptation du célèbre roman de Romain Gary avec Pierre Niney et Charlotte Gainsbourg. Impossible de voir le film sans m'être replongée dans ce roman incontournable de la littérature.
Difficile de parler d'un tel monument. Que dire, si ce n'est que tout a déjà été dit ? Ma chronique ne me permettra certainement pas de décrocher le prix Goncourt (encore que, avec un peu d'ambition...), mais elle a le mérite de rendre hommage à un Auteur ô combien talentueux.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, et bien que le récit soit ponctué d'anecdotes, La promesse de l'aube n'est pas un roman autobiographique, c'est avant tout l'hommage d'un fils à sa mère. Et oui, La promesse de l'aube est un roman qui traite de l'amour inconditionnel qu'une mère voue à son fils unique. Une mère qui nourrit une ambition sans borne pour sa progéniture, qui lui promet un destin tellement exceptionnel, qu'elle est prête à tous les sacrifices pour qu'il se concrétise. Si l'ambition que la mère de Romain Gary vouait à son fils a fait de lui un grand homme et l'auteur reconnu qu'il est devenu, son amour incommensurable le condamnera "à manger froid jusqu'à la fin de ses jours" puisque Romain Gary réalisera qu'aucune autre femme ne pourra égaler cet amour.
La promesse de l'aube est un roman à (re)découvrir ne serait-ce que pour la plume de son auteur, pour sa sensibilité, pour la déclaration d'amour d'une mère à son fils et inversement d'un fils à sa mère, pour l'amour tout simplement, pour l'ambition insensée qui pousse un homme à donner le meilleur de lui-même pour atteindre l'inatteignable. En deux mots, lisez-le !
La promesse de l'aube est un livre touchant, une œuvre magistrale. En dirais-je autant du film d'Eric Barbier ?
Belle lecture suivie d'une bonne toile !
Difficile de parler d'un tel monument. Que dire, si ce n'est que tout a déjà été dit ? Ma chronique ne me permettra certainement pas de décrocher le prix Goncourt (encore que, avec un peu d'ambition...), mais elle a le mérite de rendre hommage à un Auteur ô combien talentueux.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, et bien que le récit soit ponctué d'anecdotes, La promesse de l'aube n'est pas un roman autobiographique, c'est avant tout l'hommage d'un fils à sa mère. Et oui, La promesse de l'aube est un roman qui traite de l'amour inconditionnel qu'une mère voue à son fils unique. Une mère qui nourrit une ambition sans borne pour sa progéniture, qui lui promet un destin tellement exceptionnel, qu'elle est prête à tous les sacrifices pour qu'il se concrétise. Si l'ambition que la mère de Romain Gary vouait à son fils a fait de lui un grand homme et l'auteur reconnu qu'il est devenu, son amour incommensurable le condamnera "à manger froid jusqu'à la fin de ses jours" puisque Romain Gary réalisera qu'aucune autre femme ne pourra égaler cet amour.
La promesse de l'aube est un roman à (re)découvrir ne serait-ce que pour la plume de son auteur, pour sa sensibilité, pour la déclaration d'amour d'une mère à son fils et inversement d'un fils à sa mère, pour l'amour tout simplement, pour l'ambition insensée qui pousse un homme à donner le meilleur de lui-même pour atteindre l'inatteignable. En deux mots, lisez-le !
La promesse de l'aube est un livre touchant, une œuvre magistrale. En dirais-je autant du film d'Eric Barbier ?
Belle lecture suivie d'une bonne toile !
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